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En s’interrogeant sur le plaisir, deux amies sont propulsées au cœur du mouvement féministe qui déferle. We are coming conjugue le cinéma de l’intime et la chronique sociale, avec un regard parfois drôle, parfois émouvant, sur une des luttes les plus importantes de notre époque.
Ancien berger, Jean Lassalle se présente à la présidentielle. Deux réalisateurs un peu perchés se proclament conseillers de campagne. Contre toute attente, le montagnard se qualifie pour le premier tour. Victoire ? Nos «spin doctors» et leur champion ne sont pas au bout de leurs surprises…
Dans le quartier du champ de Mars à Perpignan, tout est fermé ou presque. Pourtant, la vie dans la cité fourmille de mille histoires. Des petites histoires qui en disent long sur la réalité des quartiers populaires.
À Saint-Jacques, quartier historique de Perpignan, les enfants vont ou pas, à l’école. Gitans catalans, ils vivent la misère au quotidien. Le film interroge, avec les parents et les enseignants, les motifs d’une désertion scolaire hors du commun. En bonus : « Je veux pas aller ».
André et les martiens nous embarque pour une promenade bouleversante, dans une proximité rare avec des artistes « bruts » ou outsider, qui travaillent de façon solitaire et construisent des univers qui renversent nos perspectives sur l’art. C’est André Robillard, créateur de fusils inoffensifs, qui nous guide.
Depuis 2007 en Équateur, le gouvernement de Rafael Correa a refusé de payer une partie de la dette publique. Grâce à des politiques de redistribution, la pauvreté et les inégalités ont baissé fortement. Pierre Carles, Nina Faure et leur équipe débarquent tout feu tout flamme dans ce nouvel Eldorado. En sillonnant le pays en ébullition, nos deux réalisateurs tirent des leçons parfois opposées de leur enquête.
L’Équateur dirigé depuis 2007 par le président de gauche Rafael Correa propose des solutions originales à la crise économique, sociale et environnementale.
Pendant huit ans, de 2003 à 2011, Christophe Coello a filmé de l’intérieur les actions de « Miles de viviendas », un groupe de flibustiers barcelonais qui invente mille façons de repousser les murs du possible…
Sous l’identité d’un improbable journaliste uruguayen, Pierre Carles, alias Carlos Pedro, mène une enquête sur la privatisation de la première chaîne de télévision française : pourquoi la concession de TF1 au groupe Bouygues est-elle renouvelée automatiquement depuis 1987 ? D’emblée, l’enquête piétine et les obstacles se multiplient.
Dans cette guerre économique, qu’on nous avait promise il y a bien des années et qui avance comme un rouleau compresseur, existe-t-il encore un sursaut d’imagination pour résister ? Mis en demeure de choisir entre les miettes du salariat précaire et la maigre aumône que dispense encore le système, certains désertent la société de consommation pour se réapproprier leur vie.
Peut-on considérer la question du travail sous l’angle du refus sans provoquer d’emblée la réprobation générale ? Est-il possible d’aborder le thème du chômage sans le présenter sous le signe exclusif de la tragédie, mais en y décelant au contraire un des moyens d’échapper aux griffes de l’exploitation et de reconquérir son temps de vie ? Attention danger travail en propose l’expérience en présentant une série d’entretiens avec des chômeurs qui ne paraissent ni accablés ni désespérés.
Il y a des témoins du monde, ceux qui disent tout haut ce qu’on pense plus bas, ni gourous, ni maîtres, mais qui considèrent que la cité, le monde, peuvent être pensés. Le sociologue Pierre Bourdieu était de ceux-là. Pendant trois ans, de 1998 à 2001, Pierre Carles a suivi Pierre Bourdieu au travail...
À la suite de « Pas vu pas pris », une réflexion sur la manière dont le pouvoir change les gens, sur les ressorts intimes de l’ambition et de la fidélité, le dévoiement de la critique en « impertinence ».
Une séquence piratée de discussion entre le responsable d’une grande chaîne de télévision et un homme politique est à l’origine de ce film inaugural d’une critique radicale des médias…
Ce sont quatre films. Quatre petits films, courts (moins de vingt minutes chacun). Ils ont comme point commun de parcourir les mêmes questions sociales avec des moyens différents : le film photographique d’inspiration journalistique d’un côté et de l’autre l’immersion par la réalisatrice elle-même dans le monde du travail et ses mécanismes implacables.
Julien Brygo explore la problématique de la ségrégation et la désertion scolaire des élèves gitans catalans d'une école primaire de Perpignan, avec l’esthétique propre à ses films photographiques. Un travail en écho à « Cas d’école ».
Les politiques d’austérité et les coupes budgétaires sont-elles les seules solutions pour réduire la dette ? Selon un audit citoyen, 59% de la dette publique française est illégitime.
Les Assoiffés, Les ventileuses et Biòu explorent la relation humain/animal. Dans ces trois courts-métrages, deux fictions et un documentaire, Sylvère Petit met en scène les animaux et les comédiens avec le même regard de cinéaste… animalier ?
En racontant l’étonnante histoire de la Sécu, La Sociale rend justice à ses héros oubliés, mais aussi à une utopie toujours en marche, et dont bénéficient 65 millions de Français.
Au cœur de la Bretagne paysanne, deux visions du métier d’éleveur laitier se confrontent. Alors que des hommes se sont engagés depuis plusieurs années dans une agriculture autonome, durable et performante, le courant majoritaire de la profession reste inscrit dans un modèle de production industriel, fortement dépendant des groupes agricoles et agro-alimentaires...
Un groupe de paysans du Lot décide, pour résister à la déprise agricole, de sauver un ferme au nom prédestiné : « La Terre ».
En pleine seconde guerre mondiale, le Conseil National de la Résistance rédige un programme qui va changer durablement le visage de la France, intitulé magnifiquement « Les Jours Heureux ».
Au Chili, quelques jours après le coup d’état du 11 septembre 1973, le jeune fonctionnaire Hector Herrera se retrouve face au corps du célèbre chanteur engagé, Victor Jara. Refusant de voir ce corps disparaître, il parvient au péril de sa vie et dans un secret total, à l’enterrer légalement. Après 40 ans d’exil en France, Hector sort de son silence…
Réfugié politique chilien en France, Porfirio Diaz, devenu aveugle, revient au Chili filmé par sa nièce, après trente ans d’exil.
Sur 10 années et en deux films, la résistance des Mapuches, communautés indigènes du Sud du Chili.
En pleine campagne des élections présidentielles de 2012, une équipe de choc interroge le traitement de faveur dont les journalistes gratifient François Hollande. Les responsables de l’information ne sont-ils pas en train de préempter l’issue du jeu électoral ? Confrontés aux preuves de leur parti pris, directeurs de journaux, éditorialistes chevronnés et petits soldats du journalisme politique se cabrent, se défaussent, se récrient, s’énervent – et parfois se dévoilent…
Les témoignages de ces ouvriers des vallées de Savoie révèlent l’évolution du regard dominant jeté sur la condition ouvrière, et nous racontent la grande histoire sociale française.
Quarante ans plus tard, les rebelles de Charlie Hebdo ont gommé le professeur Choron de la photo de famille. Il s’agissait pourtant d’un homme définitivement libre qui bravait les interdits et la morale de notre époque.
Ancien résistant et déporté, Walter Bassan continue son long combat, fait de petites batailles, contre toutes les formes de démagogies, d’injustices et d’oppressions.
Les « maîtres » du Québec. Un fils de pub. De futurs cadres. Trois films sur la bouffonnerie du pouvoir. Une co-édition avec le journal Le Plan B.